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TRIBULATIONS - Page 10

  • Barre de manœuvre de sécurité et de blocage pour volets de maisons

     

    Dans la série … les petites contraintes quotidiennes ... : ouvrir et fermer les volets de la maison !

    – vous savez les volets à battants, ceux où l’on doit se pencher, voire manquer de se défenestrer pour mettre "la tête de bergère" ou l'arrêtoir si vous préférez ... (ou avouez que vous non plus ne connaissiez pas le nom du truc qui bloque) !


    ce constructeur de maison à perpignan vous propose un nouveau geste « push-and-pull » qui vous simplifiera la petite corvée du soir et du matin.

    Dans sa version simplifiée, le système est composé d’une barre équipée de petits bras articulés à chaque extrémité, des bielles en quelque sorte, elles-mêmes fixées sur le battant du volet.

    Pour fermer les battants, il suffit d’exercer une traction sur la barre, les volets sont invités à se fermer, la barre trouve elle son logement, dans l’embrasure de la fenêtre (une version un peu plus sophistiquée de l’installation offre une position de fermeture de sécurité).

    Le matin, pour saluer le soleil, il suffit de repousser les volets de la maison ; l’ouverture totale et le blocage en tirant d'un coup énergique sur la barre. Le dispositif est assez simple à monter car il est équipé d’un moyen de réglage de l’écartement a posteriori.

    volet2.png

    Bien sûr, il ne convient pas à toutes les architectures de maison car il impose une esthétique particulière, mais il rend un vrai service en offrant les fonctions d’arrêtoirs mais aussi de garde-corps.

     

     

     

     

  • Et le photovoltaïque dans une construction de maison ?

     

    Le photovoltaïque est une technologie dont on espère beaucoup pour l'avenir, puisqu'elle permet de transformer l'énergie solaire (non polluante et inépuisable) en électricité. On peut en bénéficier chez soi, en faisant installer des panneaux photovoltaïques (différents de ceux des chauffe-eau solaires) sur son toit.

    La Réunion par exemple, est encore une fois pionnière dans le domaine, puisqu'elle accueille la plus grande ferme photovoltaïque de France. Mais on pourrait citer aussi le Sud de la France ou presque tout constructeur de maison et piscine  propose une gamme d'équipement solaire comme la fameuse "douche solaire piscine" (proximité avec le pôle DERBY oblige, reconnut pôle de compétitivité dans le 66).

    Alors comment ça fonctionne ?

    En théorie, c'est plutôt simple. Vous installez vos panneaux (environ 8000 € les 10 m²) et déjà, vous bénéficiez du même crédit d'impôt que pour un chauffe-eau solaire.

    Est-ce que l'électricité produite sera suffisante pour votre foyer ? Certainement pas, et de toute façon, vous n'utilisez pas directement votre électricité, puisque vous ne pouvez pas la stocker. En fait, vous êtes raccordé au réseau EDF qui vous rachète votre électricité et vous vend la sienne, ce qui vous garantit un approvisionnement fiable et continu, quelque soit votre propre production. Avec 10 m² de panneaux, vous produirez environ 1000 kWh, donc vous divisez votre facture d'électricité au moins par deux (un peu plus en réalité, car EDF rachète votre électricité plus cher qu'il ne vend la sienne...).

    On estime que l'investissement de départ peut être rentabilisé en moins de 10 ans, alors que vos panneaux ont une durée de vie d'au moins 25 ans. Ajoutez à cela que l'entretien est quasi-nul ! Les panneaux solaires étaient par ailleurs accusés de ne pas avoir un bon bilan carbone (c'est-à-dire qu'ils dépensaient plus de CO2 lors de leur construction qu'ils ne permettaient d'en économiser lors de leur fonctionnement), or, il apparaît que la consommation de carbone nécessaire à leur construction serait rentabilisée en 3 années de fonctionnement, donc bien moins que leur durée de vie...

    panneaux-solaires.JPGY-a-t-il donc des inconvénients ?

    En apparence non. Par ailleurs, il existe à la Réunion des cases isolées (dans les Hauts, mais pas seulement dans les cirques) comme dans les Pyrénées Orientales (Perpignan et sa région) qui n'ont que cette source d'énergie et dont les habitants semblent plutôt satisfaits. Alors, pourquoi ne pas tenter l'aventure, faire des économies et participer à la lutte contre le réchauffement climatique ?

    D'autant plus que si vous revendez votre maison, il est évident que vous pourrez mettre en avant ces investissements, qui ne manqueront pas d'attirer l'attention des futurs investisseurs (c'est aussi vrai pour les chauffe-eau solaires, pensez à citer ces installations dans vos petites annonces). Voilà pour ce qui concerne le solaire.

     

  • Les activités humaines et l'effet de serre

     L'élévation des températures moyennes à l'échelle de la planète est attribuable à l'intensification de l'effet de serre.

      Près du tiers de l'énergie thermique du soleil qui pénètre dans l'atmosphère de la Terre est réfléchie dans l'espace. Une partie du reste de cette énergie est captée par l'atmosphère, mais la plupart est absorbée par la surface de la Terre. À mesure qu'elle se réchauffe, la Terre émet à son tour de l'énergie thermique.
    Une partie de cette énergie s'échappe dans l'espace, mais étant donné que la chaleur est émise en ondes plus longues (radiation infrarouge), une partie est absorbée et réémise par les nuages et les gaz à effet de serre, comme la vapeur d'eau, le dioxyde de carbone, le méthane et l'oxyde nitreux. Ce phénomène est un effet de serre naturel, et il est essentiel pour assurer la vie telle qu'on la connaît.

     Sans l'isolation naturelle que procurent ces gaz à effet de serre, la température moyenne à la surface de la Terre serait de -18°C, au lieu de la moyenne actuelle qui est d'environ 15°C, une différence de 33°C.

      Les gaz à effet de serre ne représentent que 1% de tous les gaz dans l'atmosphère. Bien que les concentrations de ces gaz dans l'atmosphère soient si faibles, il est possible que les émissions produites par les humains aient une incidence marquée sur les températures de la surface terrestre.

     Les gaz à effet de serre sont essentiels à la vie sur la planète, mais il est possible qu'une trop grande quantité de ces gaz puisse être nuisible. En raison de la hausse de la concentration des gaz à effet de serre dans l'atmosphère, l'effet de serre naturel emprisonne davantage de chaleur.

     Nous savons tous que les gaz à effet de serre se produisent naturellement, mais une plus grande quantité de ces gaz est produite lorsque des combustibles fossiles – comme la houille, le mazout et le gaz naturel – sont brûlés. Depuis la révolution industrielle, on utilise des quantités de plus en plus grandes de combustibles fossiles – pour alimenter les industries, produire de l'électricité, chauffer et climatiser les maisons, et conduire les véhicules.
    D'autres activités humaines, notamment le déboisement des forêts pour l'agriculture et l'aménagement urbain ainsi que les méthodes d'élimination des déchets, comme les sites d'enfouissement, peuvent entraîner une hausse de la concentration des gaz à effet de serre.

     

     

     

    Depuis les années 1850, on a enregistré une hausse de plus de 30% de la concentration de dioxyde de carbone dans l'atmosphère. Depuis l'ère préindustrielle, on a constaté un accroissement de plus de 150% de la concentration de méthane dans l'atmosphère, et de 17% de la concentration d'oxydes nitreux.

     

  • Final Fantasy 13 gils

    Tiens si je faisais un détour par les jeux vidéos ?   Bien sur je ne suis pas adepte de tous ces MMOrpg, univers persistants et autres, mais Final fantasy m'a toujours paru plus intéressant que les autres (peut-être à cause du film entièrement réalisé en 3D au début des années 2000 et qui était vraiment réussi ou de sa "spiritualité" intrinsèque ).

    Final Fantasy XIII, jeu vidéo de la série Final Fantasy de Square Enix,  fait partie du projet Fabula Nova Crystallis : Final Fantasy XIII. Juste avant FF14 donc...


    Réalisateur Final Fantasy : Motomu Toriyama
    Directeur artistique : Isamu Kamikokuryo
    Programmeur principal : Kazumi Kobayashi
    Réalisateur des cinématiques : Eiji Fujii
    Compositeur : Masashi Hamauzu
    Gils final fantasy 


    La surprise qu'a révélé Square Enix fût de nous annoncer que Final Fantasy XIII ne serait pas un seul opus mais tout comme la "Compilation of Final Fantasy VII" un projet à part entière nommé FABULA NOVA CRYSTALLIS*, qui signifie "La nouvelle Histoire du Cristal" ou "Le nouveau Conte du Cristal". Ce projet se divisera en plusieurs jeux se situant dans le même univers (avec des Chocobos, Moogles, noms magiques habituels...) la même mythologie mais ne possédant pas les mêmes personnages, les mêmes mondes et les mêmes histoires. La mythologie de la série ne sera pas au centre du scénario autant que nous ne passons pas nos vies au quotidien à penser aux anciennes légendes. La mythologie environnante de la série sera en fait reflétée, par exemple, dans le design utilisé dans chaque jeu, où chacun des trois jeux se focalisera et montrera différents aspects. Ils seront en parallèle les uns avec les autres et auront tous un rapport avec les "cristaux" qui mènent leur monde vers le futur. Le Gameplay changera également entre les différents opus pour assurer aux joueurs qu'il n'y aura pas à l'avenir de crossover. Nous connaissons de ce projet 3 jeux vidéos : Final Fantasy XIII, Final Fantasy Versus XIII (tous deux sur PS3), Final Fantasy Agito XIII (sur téléphone portable; Idem en 2015 pour Final Fantasy XIV sur mobile : voir gils pour FF 14 ).

    Univers Final Fantasy XIII 

    "A tale of souls from a futuristic civilization illuminated by the Light of the Crystal"

    ff13.PNGLe jeu démarre dans un petit village alors que le personnage principal du jeu fête son 16ème anniversaire. Dans ce village, lors qu’un individu a 16 ans, il doit aller dans la forêt pour effectuer son rite de passage. Vous prenez le contrôle de votre personnage à ce moment. Vous avez un certain loisir dans la création de votre personnage. Vous pouvez choisir son genre ainsi que son origine, ce qui lui confèrera un bonus particulier. Votre petit périple dans la forêt vous fera découvrir les contrôles qui sont quand même très intuitifs. En effet, pour ce qui est des combats physiques, le jeu est principalement un « hack’n slash ». Votre personnage peut sauter, frapper et même soulever plusieurs choses (dont certains ennemis!). On devient à l’aise avec le système de contrôle très rapidement. Sur les cartes, vous trouverez plusieurs coffres remplis d’items en plus de ceux qui proviendront des monstres que vous tuerez. À la fin de votre périple d’apprentissage dans la forêt, votre rite de passage sera terminé et votre personnage héritera d’un morceau de cristal. Lors de votre retour à votre village, un incident majeur se produit. Une jeune fille tombe gravement malade. On croit qu’elle est atteinte de la maladie du cristal. Comme personne n’a pas de remède sous la main, vous êtes alors envoyé en dehors du village afin de vous rendre dans une grande ville afin de ramener un remède à cette mystérieuse maladie. Ceci sera véritablement le début de votre aventure dans le monde extérieur.

     

    Le jeu vous amènera souvent dans des donjons dans lesquels vous devrez combattre plusieurs monstres. Pour les affronter, vous aurez deux approches possibles. La première est d’affronter les ennemis au corps-à-corps. Cette partie s’effectue comme dans pas mal tous les jeux du même style. L’autre approche est d’utiliser la magie. Le jeu ne vous offre par contre que 6 magies différentes. Cela semble peu, mais vous avez la possibilité d’en combiner plusieurs au fur et à mesure que votre personnage évoluera. Le fait d’en combiner vous permettra d’élargir votre éventail de sortilèges possibles et d’infliger des dégâts majeurs à l’ennemi. Lorsque vous lancez un sort, votre personnage devient immobile et vous devez diriger la cible à l’endroit souhaité. Plus vous combattez de monstres, plus votre personnage s’améliorera. Vous aurez accès à de nouvelles habiletés physiques ou magiques. C’est à vous de décider comment vous voulez orienter votre personnage.

     


    L'univers du jeu pour l'instant c'est peut-être tout simplement la traduction de la jolie phrase donnée par Square Enix comme introduction actuelle du jeu : "L'histoire des âmes venues d'une civilisation futuriste illuminée par la Lumière du Cristal". les Cristaux tiendront encore une fois une place importante dans le monde de Final Fantasy XIII ; Ils prendront la forme d'objets réels utilisés chaque jour. Bien plus que les cristaux... les objets ont en fait une sorte de signification, un sens, même les piliers et les enseignes : à vos gils Final fantasy ! Le visuel ayant d'ailleurs une place importante dans Final Fantasy XIII, l'équipe de développement a passé du temps sur les aspect de la pré-production de FFXIII. Les artistes ont conçus les graphiques du jeu, et ne se sont pas contenter d' améliorer le réalisme visuel du jeu, ils ont créé un monde riche et vivant...

     *notes sur le mythe Fabula Nova Crystallis : http://www.ffworld.com/?rub=fnc&page=mythe

     

  • Manger indonésien - suite

     

    Sumatra et la côte ouest autour de Padang en particulier ont probablement la cuisine la plus relevée de toute l'Indonésie. Il faut dire que ces îles volcaniques de l’archipel sont un paradis aux épices.

    Partout des girofliers et des muscadiers poussent comme de la mauvaise herbe. Piments de diverses sortes, ail, sauce soja, noix de coco, cacahuètes moulues, gingembre et une douzaine d'autres précieuses épices agrémentent la cuisine. On est venu les chercher depuis l’Europe lors des Grandes Explorations. Epicé se dit « peda » ; les tables comportent presque toutes une bouteille de « sambal », pâte de piments parfumée à la crevette et mélangée à du jus de citron vert. Une cuiller à thé suffit à transformer les morceaux en braises. Le « nasi padang » est un riz spécialement épicé, et le « deng deng » un plat de viande imbibé de piment. Nombre de Français font la grimace et se ruent sur le riz blanc : una cocina latina !

     

      Les restaurants des plages proposent du thon fraîchement pêché, du barracuda, des steaks de requin, et un genre de sébaste appelé « snapper ». Je les préfère grillés, ce qui est bien meilleur que le graillonnement trop long dans une huile peu souvent remplacée. Crevettes géantes et homards sont les plus chers, d’autant que le prix est donné aux cent grammes, pas au kilo. Le poisson frais est la spécialité des Célèbes (Sulawesi) mais aussi les grillades flambées de buffle. La viande est posée sur des tuyaux de bambou et arrosée de tuak, cet alcool de palme au goût intermédiaire entre le rhum et le cidre, avant d’y mettre le feu.

    Encore plus exotique est le tikus, un vulgaire rat des champs bien gras d’avoir boulotté le riz sur pied, voire le paniki, une chauve-souris végétarienne, qui ne mange nulle souris mais des fruits. A notre grand regret, nous n’avons pas goûté de ces mets raffinés : cucina barbara, mamma mia !

     

     

     

     

     

    Les desserts se composent de fruits frais mangues, petites bananes roses ou dorées, fruits de la passion, mandarines, rambutan chevelu, anone, salak ou fruit serpent recouvert de dures écailles brunes, dourian vert qui dégage une odeur cadavérique mais dont le parfum de rose acide ravit le palais. Une préparation au fruit, le « gudeg », est la spécialité de Djodjakarta ; elle est composée du fruit du jaquier cuit dans du lait de coco. Les autres « crèmes » et « pâtisseries » sont du hollandais revu local et ne méritent nul éloge, sauf si vous avez très faim et que votre goût a été dénaturé au MacDo. Le pouding de riz noir est étrange à voir mais remplace avantageusement le porridge ou le gâteau de riz grand-mère. Il s’agit de riz noir cuit à l’eau et servi avec du lait de coco et du sucre de palme.

     

  • Manger indonésien

     

    Indonesian cooking is a mix of imports and traditions. Rice, fruits and fishes are plenty in the islands. Pigs and tea came from China and the use of sweets and pastry came from the colonial Dutch. Indonesian cooking is light and fresh, a very few meat but many vegetables and fruits, plenty of rice, grilled fish and grilled skewer chicken with a sate sauce.

     

    Fruits, légumes et riz composent le principal de la cuisine indonésienne. Partout en Asie, un repas tourne autour du riz comme autour du pain dans les traditions de nos campagnes. Le plat national bien connu est le « nasi goreng », du riz frit légèrement relevé d'ail et de piments, mélangé à des légumes finement émincés et à un peu de viande finement hachée, de poulet ou de quelques crevettes et des oeufs. Le « nasi campur » est similaire mais le riz est cuit à l’eau, moins gras. Le « lontong » est du riz cuit à la vapeur et servi dans des feuilles de bananier. Le « bakmi goreng » vient de Chine, il est fait à base de nouilles de farine de riz frites au lieu de riz en grains. Le « gado gado » est un mélange de légumes cuits al dente avec une sauce aux cacahuètes, de la sauce soja, du piment et du sucre de palme. Tout ce qui est « soto » est soupe, sorte de ragoût dans lequel baigne un peu de tout. La « soto bandung » est le ragoût de tripes, le « à la mode de Caen » local. *Un plat similaire nous a été proposé non loin des palais du laos

     

    Les amateurs de viande peuvent demander du « ayam goreng» , le poulet frit (attention : une recette mais en anglais !) . L’« ayam batutu » est une spécialité de Bali, du poulet farci grillé, servi avec des légumes, du tapioca et de la noix de coco. Le poulet se mange aussi en brochettes « saté », tout comme le poisson, le porc, et autres viandes. Les brochettes sont grillées sur la braise et servies avec une sauce aux cacahuètes ou au soja. La majorité des Indonésiens sont musulmans et ne mangent pas de porc. Seule Bali l'hindouiste autorise le cochon dans l’assiette. Le « babi guling » est un cochon de lait rôti à la broche, farci de piments émincés, d'ail, de gingembre et d'épices ; il occupe généralement la place d'honneur dans les banquets. Bali est une île environnée d’eaux poissonneuses et l’on s’y régale de langoustes et de pagres. Les étendues d’eau intérieures recèlent d’autres animaux bons à manger, comme ces grenouilles de rizières dont les cuisses sont énormes. Vue la taille de la grenouille de base, c’est une vraie cuisse de poulet. Le goût en est très différent et sidère Germains et Anglais qui s’y habituent mal : frogs’cooking !

    à suivre ...

     

     

     

  • Gaz à effet de serre

     

    La vapeur d'eau est le gaz à effet de serre le plus courant. Toutefois, trois autres gaz ont une importance particulière pour les changements climatiques, car ils sont souvent produits par les activités humaines :

     

    Le dioxyde de carbone (CO2) est relâché dans l'atmosphère par des processus naturels de la vie des végétaux et des animaux ainsi que par les activités humaines, principalement la combustion des combustibles fossiles et d'autres matériaux. Il est le principal responsable des changements climatiques et représente près des deux tiers des gaz à effet de serre produits par les activités humaines. La photosynthèse, le processus par lequel les plantes absorbent le CO2, permet d'éliminer le CO2 de l'atmosphère.

     

     

     

     

    Le méthane (CH4) n'est pas aussi abondant que le CO2, mais est un gaz à effet de serre qui retient 21 fois plus efficacement la chaleur. Il est produit lorsqu'on brûle de la végétation ou lorsque celle-ci est digérée ou qu'elle pourrit dans un environnement sans oxygène, par exemple les sites d'enfouissement. Les marécages, les rizières, les processus digestifs des animaux et les déchets en décomposition constituent les plus importantes sources de CH4 dans notre atmosphère.

     

    L'oxyde nitreux (N2O) est un élément naturel qui fait partie de l'environnement, mais dont les quantités augmentent en raison de l'activité humaine. L'oxyde nitreux est le plus souvent relâché lorsque des engrais chimiques et du fumier sont utilisés en agriculture.